« Pendant la crise, Oikocredit a pu plus que jamais être à la hauteur de sa mission sociale » De Tijd, le 14 mai

« Pendant la crise, Oikocredit a pu plus que jamais être à la hauteur de sa mission sociale » De Tijd, le 14 mai

citaat de tijd.jpgzaterdag 15 mei 2021

Dans cet article, on peut lire que « de toutes les valeurs coopératives, ce sont les coopératives de microfinance qui ont le plus souffert de la crise du Covid. Mais malgré la baisse des dividendes, la marée durable entraîne de plus en plus de coopérateurs. » Il en va de même pour Oikocredit Belgique. Malgré les contraintes imposées à ses opérations en Belgique par les mesures de sécurité du Covid, il y a eu une bonne augmentation du capital (+18%) et du nombre d'actionnaires (+7%).

citaat de tijdLa crise du Covid a eu un impact majeur sur les opérations dans le Sud, mais créer un impact social a toujours été l'objectif principal. « Pendant la crise, Oikocredit a pu plus que jamais être à la hauteur de sa mission sociale, en mettant tout en œuvre pour soutenir nos partenaires, notamment en accordant des reports de remboursement et en apportant un soutien en cas de besoin. D'autre part, le portefeuille de développement global s'est réduit, avec des provisions importantes pour des pertes éventuelles », a déclaré Johan Elsen, directeur général d'Oikocredit Belgique. « Par conséquent, il y a eu un résultat financier négatif limité en 2020, et donc le versement de dividendes n'est pas possible. »

Lors de l'assemblée générale, Vincent De Waele, en tant que président démissionnaire, a répondu : « Même si aucun dividende ne sera versé, je suis convaincu que notre impact social dans la situation actuelle est encore plus élevé que d'habitude. Malgré les résultats financiers négatifs, le rendement en matière d'impact social est très élevé. »

En outre, nous lisons dans De Tijd que des dividendes plus faibles ne gênent pas l'investisseur durable. « Pour la plupart des investisseurs dans les organismes de microfinance, les dividendes ne sont pas un facteur décisif. La réduction d'impôt de 5 % qui - sous certaines conditions - est liée à un investissement dans ces coopératives n'est pas non plus un point de rupture, tout au plus un bonus sympathique pour soutenir les jeunes entrepreneurs des pays en développement. »

L'intégralité de l'article paru dans De Tijd le 14 mai peut être lue sur le site Internet de De Tijd (en néerlandais) : https://www.tijd.be/netto/analyse/sparen-en-fondsen/lager-dividend-deert-duurzame-spaarder-niet/10304436.html.

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